…Dehors les oiseaux se taisent pour se laisser bercer par les ébats des amants…Pudiques, sur leurs branches, le temps d’un repos, ils osent voler quelques regards à travers cette fenêtre entrouverte. Des corps se tortillent , fusionnent, s’enflamment , se dilatent….et se conjuguent….
La flamme poétique des sens remodèle la matière et sculpte le temps, la plastique transcende le sublime…et les souffles se relâchent….commence le voyage de l’âme….
Les oiseaux reprennent leurs babillements heureux….attendant que d’autres fenêtres s’entrouvrent.
nov.2018
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